Les Fourberies de Scapin

Texte Molière
Adaptation, mise en scène, scénographie, costumes Emmanuel Besnault

Avec Matthieu Brugot ou Lionel Sautet, Mélanie Le Duc ou Juliette Castro, Thomas Bernier ou Jason Marcelin-Gabriel, Valentin Fruitier ou Antoine Richard et Emmanuel Besnault

Depuis sa création
Geoffrey Rouge-Carrassat ou Emmanuel Besnault ou Manuel Le Velly, Deniz Türkmen ou Chloé Zufferey ou Mélanie Le Duc, Benoit Gruel ou Victor Duez ou Valerio Zaina, Manuel Le Velly ou Matthieu Brugot ou Lionel Sautet ou Sylvain Lecomte, Schemci Lauth ou Benjamin Migneco ou Benoit Gruel ou Arthur Baratin

Lumières Cyril Manetta

Avec le soutien du Théâtre du Lucernaire (Paris), du Théâtre Rural d’Animation Culturelle (Beaumes-de-Venise), de la ville de Versailles, du festival Le Mois Molière, du festival Belcastel en scène et du Théâtre de la Condition des Soies (Avignon)

Le spectacle

Les deux amis Octave et Léandre ont chacun épousé une jeune femme de naissance inconnue dont ils étaient tombés follement amoureux. A court d’argent et craignant par dessus tout la réaction de leurs pères rentrant de voyage, ils supplient Scapin de venir à leur secours. Le valet rusé et généreux va alors mettre en place de nombreuses fourberies contre les deux vieillards pour arriver à ses fins et faire triompher la jeunesse et l’amour véritable.

Une troupe de cinq comédiens et musiciens s’empare d’une des comédies les plus drôles de Molière. Dans un rythme endiablé, ils se réapproprient en musique l’esprit du théâtre de tréteaux. Avec le caractère de ses personnages et l’enchainement rocambolesque des situations jusqu’à la réconciliation finale, le texte est pétri de l’esprit de la comédie italienne. Par l’engagement corporel des comédiens, nous ne serons pas loin de la Commedia dell’arte, dans sa vibration, sa bonne humeur communicative et les changements allègres de personnages.

C’est du théâtre de muscle et d’os, endiablé façon commedia dell’Arte. Les coups de bâton resteront dans les annales.

Télérama TTT

Un exemple brillant de ces jeunes troupes qui ont éclos en France ces dernières années.

The New York Times

Explosif et drolatique à souhait. Les comédiens, tous très bon, sont des tourbillons. La salle exulte.

Le Parisien

Un Scapin jeune, rieur et sexy. C’est galvanisant et magique.

Théâtral Magazine

En un élan créatif et impertinent, une version chaleureuse et revigorante, riche de virtuosité et d’une joyeuse énergie.

La Revue du Spectacle