Un Chapeau de paille d’Italie

Texte Eugène Labiche
Adaptation, mise en scène et scénographie Emmanuel Besnault et Benoit Gruel

Avec Emmanuel Besnault, Guillaume Collignon, Victor Duez ou Arnaud Gagnoud, Mélanie Le Duc ou Mélanie Surian, Sarah Fuentes

Costumes Magdaléna Calloc’h
Lumières Cyril Manetta
Création musicale Benjamin Migneco

En coproduction avec le Théâtre du Lucernaire (Paris) et avec le soutien de l’Espace Sorano (Vincennes) et du Théâtre de la Condition des Soies (Avignon).

Le spectacle

Fadinard est un jeune parisien sur le point d’épouser Hélène Nonancourt, fille de pépiniéristes de Charentonneau. Le matin de ses noces, le cheval de son fiacre décide de prendre comme petit déjeuner un chapeau de paille d’Italie, appartenant à une femme mariée, perdue dans les bras d’un militaire au bois de Vincennes.

Pour lui porter réparation, Fadinard se lance à cœur perdu dans la quête d’un chapeau identique. Le jour de son mariage…

Cette histoire est tellement absurde que nous allons imaginer… qu’il la rêve!

Le texte de Labiche est intact, porté par une mise en scène qui déménage. Dans un décor douillet, les cinq comédiens glissent d’un personnage à un autre avec limpidité. Une pièce déjantée.

Le Figaro

Un classique pas classique ! Le Chapeau de paille d’Italie s’envole dans un vent de folie. L’Éternel Été en fait une version électro-déjantée. Chapeau !

Paris Première

Une mise en scène réjouissante, ludique, virevoltante, entre le cirque et le cartoon. La pièce fourmille de bonnes idées, avec une troupe qui réserve des surprises !

Europe 1

Un Chapeau de paille qui décoiffe. L’Éternel Été dépoussière avec panache et désordre une pièce parmi les plus célèbres du maître du vaudeville. Sans rien ôter à la force burlesque et désopilante de cette aventure. Un pur délice.

L’Humanité

Labiche revu à la sauce dessin animé ! L’Éternel Été dynamite le vaudeville avec une scénographie très étonnante.

Nostalgie

L’invraisemblable pièce de Labiche cartonne dans une version allégée. On s’amuse drôlement et vous sortirez avec la banane de cette pure folie.

Théâtral Magazine